Douzat

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Douzat
Douzat
La mairie de Douzat.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté de communes du Rouillacais
Maire
Mandat
Pascal Burbaud
2020-2026
Code postal 16290
Code commune 16121
Démographie
Gentilé Douzatois
Population
municipale
428 hab. (2021 en diminution de 10,27 % par rapport à 2015)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 42′ 44″ nord, 0° 00′ 07″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 115 m
Superficie 11,48 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Val de Nouère
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Douzat
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Douzat
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Douzat

Douzat est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Douzatois et les Douzatoises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Douzat est une commune située à 4,5 km au nord d'Hiersac, chef-lieu de son canton, et 14 km au nord-ouest d'Angoulême.

Elle est aussi à 9 km de Rouillac, 12 km de Montignac, 13 km de Châteauneuf et 14 km de Jarnac et 26 km de Cognac[2].

La D 14, route d'Hiersac à Rouillac, traverse la partie ouest de la commune et passe à 2 km du bourg. Celui-ci est desservi par la D 119 en direction d'Angoulême par la Vigerie (N 141) ou la D 115 par Tonne (D.939). La D 385 traverse aussi le bourg, parallèlement à la D 14[3].

La commune est traversée par le méridien de Greenwich, qui passe 60 m à l'ouest de l'église[2].

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

La commune compte quelques hameaux comme l'Hôpiteau au sud du bourg, les Bois Châtains et chez Bouet au sud[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune occupe un plateau calcaire datant du Jurassique supérieur (Portlandien).

Le vallon passant au bourg est occupée par des alluvions du Quaternaire. On trouve aussi très localement, sur son flanc ouest et au sud de la commune, quelques petites zones de grèzes[4],[5],[6].

Deux vallées traversent la commune du nord au sud. Celle du bourg de Douzat à l'est et la Combe des Dames à l'ouest qui est une vallée sèche. Ces deux vallées se rejoignent au sud de la commune.

Le point culminant de la commune est à une altitude de 115 m, situé à l'extrémité nord-est (borne IGN) ; mais plusieurs autres sommets dans la commune culminent à plus de 100 m. Le point le plus bas est à 52 m, situé sur la limite sud (pont de la D 96). Le bourg est environ à 75 m d'altitude[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Douzat.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par des petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[8],[Carte 1].

La commune est traversée par un ruisseau temporaire, qui passe au bourg et qui devient permanent au sud de la commune. C'est un affluent de la Nouère, elle-même affluent de la Charente en rive droite. Ce ruisseau passe au nord au château de Fontguyon (commune de Saint-Amant-de-Nouère) et conflue au sud dans la Nouère à la Vigerie (commune de Saint-Saturnin)[3].

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Douzat est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,9 %), cultures permanentes (23,7 %), forêts (21,3 %), zones agricoles hétérogènes (11,5 %), zones urbanisées (2,6 %), prairies (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Douzat est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée)[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Douzat.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 46,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 227 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 175 sont en aléa moyen ou fort, soit 77 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[17].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes sont Dozac en 1110, villa Doziaco au IXe siècle[21], Dozac et Dozzac au XIIIe siècle[22].

L'origine du nom de Douzat remonterait à un personnage gallo-romain Doccius ou Dotius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Docciacum, « domaine de Doccius »[23],[24],[25].

La commune de Douzat a été créée à partir de la paroisse Douzac en 1793, puis a été nommée Douzat en 1801[26].

Histoire[modifier | modifier le code]

Quelques vestiges antiques ont été retrouvés sur la commune. En 1801, lors du creusement d'une carrière de sable près du bourg, un petit sarcophage en pierre avec son couvercle ont été mis au jour, contenant une fiole en verre très allongée contenant un liquide rougeâtre, et une figurine en terre cuite représentant le dieu Mercure avec le caducée à ses pieds[Note 3].

Près du village de la Forêt[Note 4], ont été retrouvés au XIXe siècle des vestiges de constructions antiques, peut-être une villa[27],[28].

Avant le IXe siècle, le Fossé au Comte était un retranchement construit par les comtes d'Angoulême pour tenter de se protéger contre les invasions vikings. Ce fossé long de 20 km reliait la Charente en amont d'Angoulême à la Charente en aval, et allait du nord-est au sud-ouest de Montignac à Vibrac[29],[30],[31],[32]. Il passait dans la commune et quelques chemins et toponymes l'évoquent encore[Note 5].

La commune de Douzat comprenait aussi des restes importants de la forêt de Marange, qui séparait autrefois la Saintonge de l'Angoumois. Cette forêt, déjà bien réduite en 1760 du fait de son défrichement, appartenait au roi[33].

Sous l'Ancien Régime, les Desroches étaient les seigneurs de la paroisse de Douzat, et l'on retrouve leur écusson sculpté au-dessus d'une fenêtre du XVe siècle[34]. Il n'y a pas d'autre trace de l'ancien château.

Les registres de l'état civil remontent à 1636.

Au début du XXe siècle, Douzat est encore la commune la plus boisée de son canton[28].

Administration[modifier | modifier le code]

La mairie.

La commune a été créée Douzac en 1793 et elle est devenue Douzat en 1801.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1983 2014 Gérard Maduel SE Agriculteur retraité
2014 En cours Pascal Burbaud    
Les données manquantes sont à compléter.

Fiscalité[modifier | modifier le code]

La fiscalité est d'un taux de 18,42 % sur le bâti, 43,30 % sur le non bâti, et 8,88 % pour la taxe d'habitation (chiffres 2007).

La communauté de communes de Rouillac prélève 10,80 % de taxe professionnelle.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].

En 2021, la commune comptait 428 habitants[Note 6], en diminution de 10,27 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
445433463471489542536537540
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
558553519495478408413406402
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
371380366347334316297323303
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
322303332367344323321418469
2019 2021 - - - - - - -
440428-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 233 hommes pour 221 femmes, soit un taux de 51,32 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
0,0 
8,4 
75-89 ans
7,0 
20,8 
60-74 ans
22,9 
22,1 
45-59 ans
18,7 
17,7 
30-44 ans
18,7 
15,0 
15-29 ans
14,0 
15,0 
0-14 ans
18,7 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[40].

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école est un RPI entre Vaux-Rouillac, Douzat et Échallat. Vaux-Rouillac et Douzat accueillent l'école élémentaire et Échallat l'école primaire. Le secteur du collège est Rouillac[41].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Douzat possède un important patrimoine bâti rural organisé en ruelles étroites qui montent jusqu'à l'église. Ses portails charentais sont de grand intérêt[42].

L'église paroissiale Notre-Dame possède sur son tympan une sculpture de saint Pierre datant de 1140 tenant les clefs et le Livre saint, et s'inscrivant dans la lignée de celles de la cathédrale d'Angoulême. Elle est inscrite monument historique à titre objet depuis 2004[43]. Une statuette ancienne de la Vierge surmonte aussi saint Pierre. L'église renferme aussi une statue en bois de Vierge à l'enfant datant du XVIIe siècle ; elle est aussi inscrite monument historique à titre objet depuis 1995[44].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Collection privée de M. de Fontguyon au XIXe siècle.
  4. Nom de hameau non retrouvé en 2014, ou changé de nom, ou lieu-dit.
  5. Le Grand Fossé, la Combe du Fossé, voir « Carte 1/25.000 » sur Géoportail.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Douzat » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. a et b Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Angoulême », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Douzat », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Douzat », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Douzat », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 53, 125
  22. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 98,204
  23. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  24. Georges Dottin, La langue gauloise, , 381 p. (lire en ligne), p. 64
  25. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 253.
  26. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 128
  28. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 153
  29. François Marvaud, Étude historique sur l'Angoumois, Cognasse, (lire en ligne), p. 48
  30. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 247
  31. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 156
  32. François de Corlieu, Recueil en forme d'histoire, Paris, Derache (1846, Laffite reprint 2002), , 81 p. (ISBN 2-86276-384-5, lire en ligne), p. 6
  33. Vigier de la Pile, Histoire de l'Angoumois, Paris, Derache (1846, Laffite reprint 2002), , 160 p. (ISBN 2-86276-384-5, lire en ligne), p. 142
  34. Alcide Gauguié, La Charente communale illustrée, t. I (arrondissement d'Angoulême), Bruno Sépulchre (Paris, 1982), , 411 p., p. 264
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Douzat (16121) », (consulté le ).
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  40. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  41. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  42. « Douzat », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
  43. « Sculpture de saint Pierre », notice no PM16000542, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  44. « Vierge à l'Enfant », notice no PM16000543, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Catillus Carol, « Douzat », (consulté le )